Stefan Zweig dans son "Montaigne" présente un livre introspectif qui relève d'un genre hybride, celui de la biographie détournée, se peindre sous les traits d'autrui: " sous le masque de Montaigne, Zweig se livre" (Préface de Olivier Philipponnat et citation de Serge Niémetz - Le Livre de Poche):
"Il sait qu'il a réussi à faire ce que Platon avait considéré comme le plus difficile: se retirer de la vie publique sans s'être sali les mains. C'est avec fierté qu'il jette un regard rétrospectif sur sa vie…" (Ne reconnaît-on pas l'arbre à ses fruits ?)