Il est étonnant de voir combien les évènements s'emballent et tournent vite mal…une terre ou un mode de vie brusquement morcelés, dispersés et aussi parfois même débaptisés et c'est toute une nostalgie, une bile noire faite de regrets de ce qui a été et ne sera plus qui s'écoule alors comme une hémorragie externe qu'on imagine mortelle. Il faut alors penser que les strates de la vie se suivent et ne se ressemblent pas. Elles exigent qu'après la passion et la soif de puissance, ce soit vers la recherche de sens qu'il faille se tourner…
Et être capable de se dire à chaque ressac de cette nouvelle odyssée qui commence: " allez, ça me va, c'était bien " devient alors grandement avantageux.