" .. la guerre d’Espagne a vu la conscience catholique se vendre pour quelques avantages politiques et l'esprit libertaire perdre toute retenue.
Combien de professeurs d’espagnol réfugiés en France ou ailleurs en seront-ils réduits à apprendre à la génération de nos petits-enfants qu’il faut intensément aimer Federico Garcia Lorca ? Et si la mort de ce dernier nous accable tant, c’est parce qu’elle révèle en nous la part d’injustice dont nous sommes capables.
Je suis démocrate et vous ne l’êtes point, du moins vous vous plaisez à l’affirmer, ce qui ne nous empêche pas d’être tous deux contre le totalitarisme..."