" ... vivre, serait alors se tenir en équilibre à la « fine pointe » de l’instant et savoir capturer l’occasion, cette faveur du temps qui désigne l’opportunité et le moment propice qu’il s’agit de saisir. C’est « se tenir prêt, faire le gué et bondir » et savoir profiter de ce qui se présente ici et maintenant, parce qu’après il sera trop tard. Ce n’est plus être, ni paraître mais bien plutôt apparaître, c’est une émergence, une épiphanie qui advient..."
(Hommage à Jankélévitch et le charme de l’instant dans le « je ne sais quoi et le presque rien »)