Ce dernier livre de la trilogie est mon adieu aux valeurs voilées de l'arrachement... j'ai pu y distinguer juste à temps les personnages de leurs actes, naïfs ou manipulateurs.
Pour autant, à mes réflexions sur la soumission et l'effort, sur l'esclave satisfait et le magicien, sur la passion, le pouvoir et le sens, je ne changerai rien...
...car ils resteront magiques les riches en vie qui savent reprendre leur quête et quitter un confort toxique sans faire d'histoires, de manière ordinaire et silencieuse, sans surprendre, mais à la hache quand même. Intranquilles et précaires, ils serrent leur risque au plus près, à la pensée non pas de ce qu'ils quittent mais plutôt de ce qu'ils laissent chaque fois un peu derrière eux.