En dépit de deux Napoléon (1812 et 1853), la Russie reste notre complément séculaire à au moins deux titres : l’un est géographique et l’autre culturel. Nous ne l’oublions pas. Aussi aurions nous tout intérêt à accompagner cet incontournable « allié de revers » plutôt qu'à l’ignorer.